Sel rose de l’Himalaya [Principe actif]
Le sel rose de l'Himalaya est riche en chlorure de sodium et met en avant la présence d'oligo-éléments, comptant plus de 80 d'entre eux, tout en étant très concentré en fer, en calcium, et en potassium.
La plupart des analyses en matière de nutrition sportive se concentrent sur les macronutriments, négligeant souvent ou accordant moins d'attention à des substances telles que le sodium.
Il a été démontré que la consommation de sodium, qu'elle soit élevée ou faible, est associée à des problèmes de santé et de performance chez les athlètes. De plus, un déséquilibre électrolytique, en particulier au niveau du sodium, a des répercussions significatives, contribuant au développement de crampes musculaires (EAMC) et d'hyponatrémie (EAH).
Le sodium, en tant que sel minéral, est indispensable, notamment pour la contraction musculaire et les fonctions nerveuses, particulièrement chez les sportifs en raison de son rôle dans la régulation de l'équilibre hydrique. La pratique sportive entraîne une sudation importante pendant l'exercice, étant le moyen principal par lequel le corps régule sa température corporelle.
Ce mécanisme provoque une carence en sodium, ayant un impact sur la performance, se manifestant par une sensation générale de fatigue, une perte de concentration et des crampes musculaires. Il est important de noter que plus vous transpirez, plus vos pertes en sodium seront importantes.
C'est pourquoi la présence du sel rose de l'Himalaya dans le pré-workout permet d'anticiper ce phénomène, vous aidant à maintenir un niveau élevé de performances et à favoriser la récupération entre les séances d'entraînement.
L'ajout de sodium contribue à maintenir les volumes plasmatiques, correspondant au volume sanguin dans les muscles. En effet, un volume sanguin plus élevé favorise une meilleure oxygénation de la masse musculaire.
Le sodium contribue également à une meilleure rétention d'eau, favorisant ainsi l'hypertrophie, principalement obtenue par l'augmentation du liquide cellulaire via l'entraînement grâce à la rétention d'eau du glycogène qui pénètre le tissu musculaire.